Voici la conclusion de l’article :
Il est assez évident, avec une source décente (principalement en 24 bits, un peu de Tidal Masters), que l’Atlas Grun transmet un signal absolument cristallin aux écouteurs Empyrean, au-delà de tout ce que j’ai entendu auparavant. Après cela, il ne reste plus qu’à aligner ses morceaux préférés (Chiquitita d’ABBA, voir ma critique des Empyrean !).
Le système de mise à la terre, j’imagine, élimine toutes les interférences de la pièce et permet à une paire d’écouteurs superbe de faire son travail. À nouveau, en écoutant la version stéréo 24 bits, 96 kHz de Some de Nils Frahm, on ressent pleinement l’atmosphère électrique de cette performance enregistrée en une seule prise. De même, la piste K de Cigarettes After Sex est magnifiquement équilibrée, avec une ligne de basse totalement maîtrisée par les écouteurs. La précision des clics et des attaques de guitare dans le morceau est hypnotisante et donne envie de le réécouter immédiatement.
Il y a ici quelque chose de plus… ou peut-être de moins ? Le câble Atlas Zen Harmonic avec Grun est, selon moi, aussi transparent que possible dans cette configuration. Tout cela contribue à donner à ces excellents écouteurs un contrôle tonal absolu. Globalement, le son est fabuleux, et c’est un privilège pour moi de pouvoir écouter cet ensemble. Dans ma quête des meilleurs écouteurs au monde, c’est sûrement le nirvana. Selon mon système de notation, c’est encore une fois un 5 étoiles, « Exceptionnel »
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