Conclusion de l’article :
À tous égards, l’Equator XLR n’a pas déçu. Branché entre mon lecteur/DAC dCS Vivaldi One [HFN février 2018] et mes blocs mono Constellation Inspiration [HFN octobre 2019], l’Equator XLR a offert une image musicale légèrement plus équilibrée, sacrifiant un peu de micro-détails au profit d’un meilleur équilibre qui, potentiellement, trouvera parfaitement sa place dans un système au son légèrement plus brillant.
DVD « Concert virtuel » en édition limitée de Yello – Numéro A du magazine Touch [N/A cat no ; [48 kHz / 24 bits] a fourni un exemple précis de la façon dont le câble XLR Equator parvient à adoucir les percussions les plus dynamiques tout en préservant la richesse et l’ambiance de l’interprétation. L’Equator XLR a permis de restituer l’énergie, la puissance et l’enthousiasme de Dieter Meier et Boris Blank sur leur scène virtuelle, tout en évitant que des distorsions ou des imperfections ne viennent perturber un amplificateur ou des enceintes déjà très présents. Le son reste agile, les basses claires et rapides là où il le faut, ou profondes et étendues là où l’enregistrement l’exige. Il s’agit d’une amélioration très concrète par rapport aux câbles d’interconnexion XLR classiques.
AVIS DE HI-FI NEWS
J’ai décrit l’influence des câbles d’interconnexion XLR Equator d’Atlas comme un remède, un adoucissant subtil qui troque une précision chirurgicale pour un son à la fois tolérant et musicalement captivant. Il existe des câbles d’interconnexion au son plus brillant, mais ne prenez pas l’histoire de l’Equator XLR comme un euphémisme pour « terne » ou en retrait, car ceux-ci sont astucieusement équilibrés pour sublimer votre musique sans la dénaturer.
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